gynarchiste

Après une série de mauvais résultat trimestriel, je suis convoqué dans le bureau de Madame la directrice par le biais de sa jeune assistante. Cette femme, proche de la cinquantaine, dispose d'environ 200 salariés sous ses ordres. Elle est terriblement impressionnante, charismatique, raffinée, c'est une femme élégante, craint de tous, mais en même temps tellement désirable et sensuelle.

Une fois arrivé à son bureau, sans même m'adresser un regard, elle me demande fermer la porte de son bureau, puis précise sur un ton ferme et autoritaire "fermez la porte à clé".

Impressionné, effrayé à la fois, je me retourne vers elle en évitant de la regarder droit dans les yeux. Elle aborde mes résultats trimestriels, et me dis que je devrais faire beaucoup mieux si je tiens à garder mon poste dans la société. Su un ton effrayé, je lui réponds « oui Madame », suivi d'un long silence qui envahis son bureau, avant que Madame la directrice me demande sur un ton ferme de contourner son bureaux et m'approcher d'elle. Elle me regardant droit dans les yeux, Madame la directrice me dis qu'elle ne croit pas à en mes aptitudes à redresser mon bilan pour les prochains mois, et me dis que je pourrai peut-être lui servir à quelque chose, et surtout qu'il serai préférable pour moi d'accepter sa proposition. Je lui réponds un petit « oui Madame» effrayé, puis elle m'ordonne de me mettre à genoux devant elle, de lui retirer ses talon aiguilles, et de la détendre en commençant par sucer ses orteils à travers ses bas.